Ceci est la conversation de soutien entre Charlotte et Arthur du jeu Fire Emblem Fates
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Rang C[]
Charlotte : Arthur ! Arthuuur !
Arthur : Ah, bonjour Charlotte. Comment puis-je vous aider ?
Charlotte : Je sais que cela peut paraître un peu soudain, mais je vous trouve magnifique ! Je n'ai pas pu m'empêcher de vous observer lors de la bataille, l'autre jour. Vous êtes si impressionnant sur le champ de bataille ! Quelle force, quelle vaillance ! Voilà ! Il fallait que je vous le dise, hi hi hi...
Arthur : Ah, je vois. Eh bien, merci ! En tant que défenseur de la justice, il me fait plaisir de savoir que mon aura rayonne.
Charlotte : Vous êtes si fort et musclé ! J'aimerais tellement que quelqu'un comme vous me protège du danger...
Arthur : Plaît-il ?
Charlotte : Je... n'ai personne pour me protéger. Je ne suis pas aussi forte que les autres soldats. La bataille m'effraie.
Arthur : Hmm...
Charlotte : Quelque chose ne va pas ?
Arthur : Il y a comme qui dirait quelque chose qui cloche... Je ne parviens pas à mettre les 10 doigts dessus, mais votre discours sonne faux.
Charlotte : Q-Que voulez-vous dire ? Regardez-moi, ne voyez-vous pas comme je suis fragile ? Vous seriez-vous cogné la tête ? Votre esprit doit vous jouer des tours !
Arthur : C'est possible. Je vous demande pardon, navré de mettre votre parole en doute. Je vais vous prendre au mot et assurerai votre protection. Au nom de la justice !
Charlotte : Je suis si contente, hi hi hi ! Merci Arthur !
Rang B[]
Charlotte : Arthur ? Vous n'avez pas l'air dans votre assiette, quelque chose ne va pas ?
Arthur : Bonjour Charlotte. Je réfléchis, voilà tout. Je ne suis pas du tout sûr que vous ayez besoin de ma protection.
Charlotte : Comment ? Pourquoi dites-vous cela ?
Arthur : J'ai remarqué quelque chose pendant la bataille. Alors que je faisais de mon mieux pour vous protéger, un ennemi a réussi à m'échapper. J'ai craint pour vous en le voyant avancer, mas vous l'avez vaincu sans peine. En un seul coup, par-dessus le marché... J'ai alors réalisé que c'était peut-être plutôt vous, qui me protégiez.
Charlotte : ... Vous alors ! Vous avez inventé cette histoire pour me flatter, avouez ! Je ne sais même pas de quelle bataille vous parlez !
Arthur : Je parle de la dernière bataille. Vous n'étiez plus la même personne quand le combat a commencé. Vous avez poussé un cri effroyable et avez chargé l'ennemi. J'ai vu des hommes pâlir... Oui, je me souviens... Vous m'avez aussi sauvé d'un sort qui m'était destiné. Vous m'avez tiré en dehors de sa trajectoire... d'un seul bras.
Charlotte : Je, euh... Je devais être possédée ! Oui, c'est ça, du fait de quelque magie perfide de l'ennemi...
Arthur : C-Comment ? Vous avez été possédée par l'ennemi, vous dites ?
Charlotte : Tu parles. Je veux dire, oui ! C'est exactement ce qui s'est passé ! Oh, c'était horrible. J'étais remplie de haine, comme assoiffée de sang... Et quelle force ! Comme si je n'étais plus moi-même...
Arthur : Je vois. Horrible, en effet.
Charlotte : Vous... Vous me croyez ?
Arthur : Bien sûr.
Charlotte : ...
Rang A[]
Arthur : ...
Charlotte : Bonjour, Arthur. De quoi vouliez-vous parler ?
Arthur : J'irai droit au but. La poursuite de la justice me pousse à vous faire face. Je dois connaître la vérité.
Charlotte : La vérité ?
Arthur : En effet. Car je sais désormais que vous êtes capable de prouesses au combat. Vous ne pouviez pas être sous le coup d'un sort, tous les magiciens étaient tombés. J'aimerais donc avoir une explication.
Charlotte : Ah... Eh bien... Ha ha... Ha ha ha !
Arthur : Qu'est-ce que... Pourquoi riez-vous ?
Charlotte : Je n'arrive pas à croire que vous m'ayez crue ! En vérité, je me bats sans problème. Mais les hommes ont tendance à partir en courant quand ils me voient à l'œuvre. Celle que vous avez vue sur le champ de bataille, c'était bel et bien moi.
Arthur : Je vois... Vous n'avez aucune inquiétude à avoir, cela dit. Je ne m'enfuirai pas. Je vous considère comme une alliée de confiance.
Charlotte : Une alliée ?
Arthur : Oui. Plus encore. Il m'a été donné de protéger moult compagnons jusqu'à aujourd'hui... Et il est rare qu'ils puissent se défendre seuls en attendant la venue du justicier. En vérité, vous regarder vous battre me pousse à vouloir me dépasser.
Charlotte : Intéressant... Je n'aurais jamais pensé que des mots pouvaient me faire sentir aussi bien. À partir d'aujourd'hui, je serai honnête avec vous et vous protégerai.
Arthur : Ha ha ! Je vous fais confiance, oui.
Rang S[]
Charlotte : Arthur, vous vouliez me voir ? Vous souhaitiez me parler, je crois.
Arthur : En effet, il y a quelque chose que j'aimerais vous demander.
Charlotte : Je vous écoute.
Arthur : Lors de nos premiers échanges, vous parliez d'une façon particulière. C'était une façon de dissimuler votre vraie personnalité, n'est-ce pas ?
Charlotte : Tout juste.
Arthur : Agissez-vous toujours de la sorte face aux hommes dont vous recherchez les faveurs ?
Charlotte : Oui... Qu'essayez-vous de dire ?
Arthur : Je veux vous donner l'attention que vous cherchez, Charlotte. Car je vous aime.
Charlotte : Quoi ?! Vous m'aimez... Mais... Non, vous devriez trouver quelqu'un d'autre.
Arthur : Pourquoi ? Je vous trouve sensationnelle, et je ne connais pas de femme comme vous.
Charlotte : En êtes-vous sûr ? Beaucoup de gens dissimulent leur personnalité à autrui.
Arthur : Vous aviez peut-être raison, mais... C'est la vraie Charlotte que j'aime, pas celle derrière laquelle vous vous cachez.
Charlotte : Vous m'avez dit l'autre jour que nous étions de bons alliés. Et je trouve que les choses sont bien comme elles sont.
Arthur : Pourquoi ?
Charlotte : Parce que l'amour est un édifice fragile qui finit toujours par s'effondrer. Une alliance, en revanche, peut durer pour l'éternité, n'est-ce pas ?
Arthur : S'il n'y a que ça qui vous inquiète, je vous promets de vous aimer pour l'éternité.
Charlotte : Vous êtes sérieux ?
Arthur : J'en fais le serment sur l'honneur et la justice. Nous ne serons jamais séparés.
Charlotte : ... Comment ignorer une telle promesse ? Très bien.
Arthur : Hmm... Vous voulez dire que...
Charlotte : Mais souvenez-vous ! Vous n'avez vu ma vraie personnalité qu'au combat... Quand vous m'aurez vue hors du champ de bataille, il sera trop tard pour reculer.
Arthur : Je ne me fais pas le moindre souci, je ne recule jamais devant l'adversité.