Soutien C[]
- Bernadetta : Aah... Tout est si paisible, ici. Les fleurs n'ont pas leur pareil pour apaiser les âmes troublées. Leur contemplation efface toutes les choses affreuses subies pendant la journée. Ah, si les gens pouvaient être comme les fleurs.
- Dorothea : Serait-ce Bernie ? On dirait que quelque chose ne va pas.
- Bernadetta : Les nobles sont tous terrifiants. Quant aux roturiers... Dorothea, par exemple. Elle est jolie, populaire, éblouissante... Quelqu'un comme moi ne pourra jamais être proche d'une personne comme elle.
- Dorothea : Tout va bien, Bernie ?
- Bernadetta : Ah ! Dorothea ! Vous avez entendu ce que je disais ?
- Dorothea : Simplement la partie où vous regrettiez de ne pas pouvoir vous rapprocher de quelqu'un. Laissez-moi deviner... Bernie, seriez-vous amoureuse ? Vous devez tout me dire. Qui est-ce ? Est-ce quelqu'un que je connais ? Je suis si heureuse pour vous, Bernie !
- Bernadetta : J-Je... Non... Je me disais juste que... que j'aimerais beaucoup que vous deveniez mon amie.
- Dorothea : Moi ? Je croyais que nous étions déjà amies.
- Bernadetta : Ce... Ce n'est pas ce que je veux dire... Oh, mais quelle lâche je fais ! J'aimerais tellement que nous apprenions à mieux nous connaître, vous et moi ! Malheureusement, de vieux souvenirs refont parfois surface et me retiennent.
- Dorothea : Quoi qu'il vous soit arrivée, Bernie, vous savez que je suis là si vous avez besoin de parler. Vous pouvez compter sur mon soutien. Pour ma part, je considère que nous sommes amies depuis longtemps. Alors dites-moi...
- Bernadetta : Oublions tout cela. Nous ne serons jamais amies. Mon père... Il... Aaaaaah ! Noooooon !
(Bernadetta s'enfuit)
- Dorothea : Attendez ! Son père ? Que voulait-elle dire ?
Soutien B[]
A venir