Soutien C[]
Nuées blanches[]
Mercedes : Bonsoir Professeur. Vous rentrez du travail, n'est-ce pas ?
Byleth :
- C'est exact.
- Mercedes : J'admire votre capacité à travailler si tardivement. Chacune de mes journées à l'Académie est enrichissante, grâce à vous.
- Je travaille encore.
- Mercedes : Bonté divine ! À cette heure si tardive, Cela doit être éreintant.Ne vous épuisez pas, d'accord ? Je m'inquiète pour votre santé. il ne faudrait pas que vous vous tuiez à la tâche.
Mercedes : La déesse ne vous châtiera pas si vous déléguez quelques tâches, vous savez ?
Byleth :
- Quand bien même...
Mercedes : Écoutez, Professeur. Vous n'aimerez peut-être pas ce que je vais vous dire.
Pour être parfaitement honnête, j'avais quelques réserves la première fois que je vous ai rencontrée.
Byleth :
- Vous me surprenez.
- Mercedes : Je ne voudrais pas m'attirer votre mépris en vous le disant, mais advienne que pourra...
- Pourquoi donc ?
Mercedes : Je vous trouvais initialement trop jeune pour être professeur. C'est inhabituel, avouez-le.
Cependant vous semblez très sage et mature, malgré votre jeune âge.
Vous êtes opiniâtre, encourageante, et vous ne ménagez pas vos efforts pour le bien-être de chacun.
Mais je trouve que vous vous forcez un peu trop à être un exemple parfait pour vos élèves.
Byleth :
- Je ne me force pas.
- Ça fait partie du métier.
Mercedes : Je ne mettrai pas en doute votre parole, mais je pense que vous devriez vous accorder une pause de temps à autre.
Les erreur de jugement sont monnaie courante lorsqu'on est épuisé.
Et moi, je fais des erreurs même lorsque je suis parfaitement éveillée.
Byleth :
- Des erreurs ?
Mercedes : Oh, vous savez... je mélange les dates des manœuvres, j'égare des choses...
L'autre jour, j'ai oublié de revêtir mon uniforme et je suis allée à l'entraînement en pyj...
Oh, hem. Enfin vous imaginez à quel point j'avais honte. Je suis vraiment dans la lune, parfois.
M-Mais où en étais-je ? Ah oui. j'essayais de vous dire de ne pas vous épuiser à la tâche.
Car sinon, cela pourrait mal se finir pour vous.
Ah, d'ailleurs ! Puis-je vous assister en quoi que ce soit, Professeur ?
Si ça ne vous dérange pas, j'aimerais, vous offrir mon aide.
Byleth :
- Merci, c'est appréciable.
- Mercedes : Si vous avez besoin, n'hésitez pas
- Je vais y réfléchir.
- Mercedes : Ne vous inquiétez pas ! je suis maladroite, mais je m'améliorerai.
Mercedes : J'ai hâte de vous venir en aide.
Soutien B[]
Nuées blanches[]
Moine : Vous, ma fille. Écouterez-vous les complaintes d'un vieil homme ?
Je suis né et j'ai grandi dans cette ville. J'y ai vécu toute ma vie.
Ma fille vit dans l'Empire, et m'a écrit pour me demander si j'observais bien les prières quotidiennes.
Byleth : ...
Mercedes :Oh, bonjour, Professeur. Est-ce un ami à vous ?
Byleth :
- Je ne le connais pas.
Mercedes : Vraiment ? J'étais certaine que vous vous connaissiez.
Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour vous, Monsieur ?
Moine : Oh, vous êtes bien bonne, ma fille ! J'étais justement en train de tout raconter à cette brave jeune femme.
Mercedes : Vraiment ? Qu'est-ce qui vous tracasse ?
Moine : Ah, je voulais me rendre à ma prière quotidienne, mais ma jambe m'empêche de marcher correctement.
Mercedes : Oh, c'est terrible ! Ça ne va pas du tout. puis-je faire quelque chose pour vous ?
Je pourrais vous prêter mon épaule pour aller à la chapelle.
Moine : Vous feriez cela ? je vous en serais reconnaissant. Louée soit la Déesse de vous avoir envoyée !
Mercedes : Nous avons aussi besoin de votre aide, Professeur. Tenez, prenez mon bras.
Transition
Mercedes : beau travail, professeur. il a semblé réellement apprécier notre assistance.
Byleth :
- Nous avons fait une bonne action.
- Vous m'avez aussi aidée.
- Mercedes : Je ne pense pas mériter de compliments. Je suis simplement heureuse de l'avoir aidé.
Mais vous avez beaucoup contribué à lui remonter le moral ! Mercedes : Faire sourire quelqu'un illumine toujours ma journée.
Quelque chose ne vas pas ? vous me regardez bizarrement.
Byleth :
- Comment avez-vous deviné qu'il avait des soucis ?
Mercedes : Oh. Hmmm... Comment expliquer ça...
Je pense que c'est une seconde nature, chez moi.
Byleth :
- Que voulez-vous dire ?
Mercedes : C'est difficile à expliquer, mais j'arrive généralement à déceler si quelqu'un a des soucis.
Tout à l'heure, j'ai ressenti votre détresse et celle du vieil homme.
J'ai vécu une bonne partie de ma vie dans l'église. C'est peut-être pour cela que je décèle facilement ces choses ?
Byleth :
- Vous avez vécu dans l'église ?
- Vous me l'apprenez.
Mercedes : Je ne vous l'avais encore jamais mentionné ?
J'ai passé près de dix ans dans l'église de Faerghus.
Nombreux venaient nous confier leurs peines.
Lorsque j'étais moi-même dans le besoin, je me suis tournée vers l'église, et on m'y a aidée.
Puis-je vous confier quelque chose, professeur ? C'est au sujet d'un de mes rêves.
Byleth :
- Quel est ce rêve ?
Mercedes : J'aimerais un jour travailler à l'église. je veux être comme le prêtre qui m'a aidée.
Ah, mais ce n'est pas réaliste. Oubliez ce que je viens de dire.
Si j'étais quelqu'un d'autre, une roturière sans emblème si noblesse, ça aurait pu être différent.
C'est un peu triste, mais... c'est ainsi.
Après tout, seule la Déesse décide de notre destin.
Neiges argentées[]
Moine : Vous, ma fille. Écouterez-vous les complaintes d'un vieil homme ?
Je suis né et j'ai grandi dans cette ville. J'y ai vécu toute ma vie.
Ma fille vit dans l'Empire, et m'a écrit pour me demander si j'observais bien les prières quotidiennes.
Byleth : ...
Mercedes :Oh, bonjour, Professeur. Est-ce un ami à vous ?
Byleth :
- Je ne le connais pas.
Mercedes : Vraiment ? J'étais certaine que vous vous connaissiez.
Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour vous, Monsieur ?
Moine : Oh, vous êtes bien bonne, ma fille ! J'étais justement en train de tout raconter à cette brave jeune femme.
Mercedes : Vraiment ? Qu'est-ce qui vous tracasse ?
Moine : Ah, je voulais me rendre à ma prière quotidienne, mais ma jambe m'empêche de marcher correctement.
Mercedes : Oh, c'est terrible ! Ça ne va pas du tout. puis-je faire quelque chose pour vous ?
Je pourrais vous prêter mon épaule pour aller à la chapelle.
Moine : Vous feriez cela ? je vous en serais reconnaissant. Louée soit la Déesse de vous avoir envoyée !
Mercedes : Nous avons aussi besoin de votre aide, Professeur. Tenez, prenez mon bras.
Transition
Mercedes : beau travail, professeur. il a semblé réellement apprécier notre assistance.
Byleth :
- Nous avons fait une bonne action.
- Vous m'avez aussi aidée.
- Mercedes : Je ne pense pas mériter de compliments. Je suis simplement heureuse de l'avoir aidé.
Mais vous avez beaucoup contribué à lui remonter le moral ! Mercedes : Faire sourire quelqu'un illumine toujours ma journée.
Quelque chose ne vas pas ? vous me regardez bizarrement.
Byleth :
- Comment avez-vous deviné qu'il avait des soucis ?
Mercedes : Oh. Hmmm... Comment expliquer ça...
Je pense que c'est une seconde nature, chez moi.
Byleth :
- Que voulez-vous dire ?
Mercedes : C'est difficile à expliquer, mais j'arrive généralement à déceler si quelqu'un a des soucis.
Tout à l'heure, j'ai ressenti votre détresse et celle du vieil homme.
J'ai vécu une bonne partie de ma vie dans l'église. C'est peut-être pour cela que je décèle facilement ces choses ?
Byleth :
- Vous avez vécu dans l'église ?
- Vous me l'apprenez.
Mercedes : Je ne vous l'avais encore jamais mentionné ?
J'ai passé près de dix ans dans l'église de Faerghus.
Nombreux venaient nous confier leurs peines.
Lorsque j'étais moi-même dans le besoin, je me suis tournée vers l'église, et on m'y a aidée.
Puis-je vous confier quelque chose, professeur ? C'est au sujet d'un de mes rêves.
Byleth :
- Quel est ce rêve ?
Mercedes : J'aimerais un jour travailler à l'église. je veux être comme le prêtre qui m'a aidée.
Ah, mais ce n'est pas réaliste. Oubliez ce que je viens de dire.
Si j'étais quelqu'un d'autre, une roturière sans emblème si noblesse, ça aurait pu être différent.
C'est un peu triste, mais... c'est ainsi.
Après tout, seule la Déesse décide de notre destin.