Soutien C[]
Ce soutien n'est disponible que pendant la 1re partie du jeu
- ??? : Aah... Arg... ... ère ! ... auv... !
- Byleth : ...
- Byleth : choix du joueur
- Qui cela peut-il bien être ?
- Sothis : Un fantôme ? Non, ce n'est pas possible.
- Serait-ce... un fantôme ?
- Sothis : On est dans un monastère, quand même ! Un fantôme ne viendrait jamais ici...
- Qui cela peut-il bien être ?
- Sothis : Et pourquoi tu me regardes comme ça, d'abord ? Je te signale que je ne suis pas un fantôme !
- ??? : Non... gnnn... oh !? Qui va là ?
- Edelgard : Professeur ! Que faites-vous ici ?
- Byleth : choix du joueur
- J'ai entendu quelque chose.
- Edelgard : Oh ? J'ai dû parler dans mon sommeil
- J'avais besoin de compagnie.
- Edelgard : Qu'est ce que cela peut vouloir dire ?
- Edelgard : Quoi qu'il en soit, je vous saurais gré de ne plus m'effrayer de la sorte.
- J'ai entendu quelque chose.
- Byleth : Vous faisiez un cauchemar ?
- Edelgard : Ah. Vous m'avez donc entendue.
- Edelgard : Oui, c'était un cauchemar. J'en fais depuis ma plus tendre enfance.
- Edelgard : Des cauchemars idiots, insensés, sur lesquels je n'ai aucun contrôle. C'est très contrariant.
- Byleth : choix du joueur
- Quel genre de cauchemars ?
- Edelgard : Des choses qui se sont passées dans mon enfance. Bien avant que je ne comprenne qui j'étais destinée à devenir.
- Est-ce que je peux vous aider ?
- Edelgard : Non. Ce ne sont que des rêves idiots de mon passé. En parler serait inutile.
- Quel genre de cauchemars ?
- Byleth : choix du joueur
- Vous savez que vous pouvez tout me dire...
- Edelgard : Je savais que vous diriez cela. J'imagine que nous ne perdons rien à essayer.
- Dans ce cas, ce ne sont pas mes affaires.
- Edelgard : Effectivement. Mais après tout, puisque vous êtes là... Je pourrais peut-être me confier à vous.
- Vous savez que vous pouvez tout me dire...
- Edelgard : Vous devez néanmoins faire le serment de ne les répéter à personne.
- Byleth acquiesce
- Edelgard : Je vous fais confiance...
- Edelgard : Je rêve de mon grand frère, paralysé et désemparé, de ma sœur aînée appelant en vain à l'aide, et de ma sœur cadette balbutiant des paroles incohérentes...
- Edelgard : De ma famille, agonisant lentement, croupissant dans des abîmes obscurs, avec l'espoir d'entrevoir une lueur...
- Edelgard : Jadis j'avais dix frères et sœurs. Huit aînés, et deux cadets.
- Edelgard : De toute cette grande fratrie, c'est moi qui suis l'héritière du trône. Savez-vous pourquoi ?
- Edelgard : C'est simple. Tous mes frères et soeurs ont péri, sombré dans la folie ou vu leur corps ravagé par la maladie.
- Edelgard : Il ne restait plus que moi pour assurer la succession.
- Byleth : choix du joueur
- Mais c'est affreux !
- Comment une telle chose a-t-elle pu se produire...
- Edelgard :Tout est allé de mal en pis. Les ténèbres n'ont fait que s'épaissir. Finalement, je fus la seule survivante.
- Edelgard : Les cauchemars me permettent de ne jamais oublier. Afin que ces horreurs ne se reproduisent jamais.
- Byleth : Mais comment pourraient-elles se reproduire...
- Edelgard : Aujourd'hui encore, moi seule peux porter le poids de l'Empire d'Adrestia.
- Edelgard : Le futur de l'Empire... Du monde entier... est entre mes mains...
- Edelgard : Hm. Mais je m'épanche... Il y a des jours comme ça.
- Edelgard : Je n'avais encore jamais parlé de mon passé à quiconque. Oubliez tout cela, s'il vous plaît. Bonne nuit, Professeur.
Soutien C+[]
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- Edelgard : Oh, c'est vous. Vous veillez bien tard, encore une fois. Qu'est-ce qui vous amène ?
- Byleth : choix du joueur
- Je pourrais vous retourner la question.
- Edelgard : Je désirais simplement prendre l'air. Profiter de cette petite brise agréable.
- Edelgard : Je sors toujours quand j'ai des insomnies
- Et vous, vous n'arrivez pas à dormir ?
- Edelgard : Comment avez-vous deviné ?
- Edelgard : Lorsque j'ai des insomnies, j'étouffe à l'intérieur. Alors je vais prendre un peu l'air.
- Je pourrais vous retourner la question.
- Byleth : choix du joueur
- Je n'arrive pas non plus à dormir.
- Edelgard : Je vois... Mais veiller si tard reste déconseillé.
- Je suis épuisé.
- Edelgard : Hé hé... dans ce cas, je vous laisse rejoindre votre lit, Professeur.
- Je n'arrive pas non plus à dormir.
- Edelgard : Je devrais d'ailleurs aller dormir aussi...
- Edelgard : Le grand air vous manque-t-il, parfois ?
- Edelgard : À moi, oui, en tout cas. J'ai besoin du soleil, du vent sur mon visage...
- Edelgard : Vous souvenez-vous de ce que je vous ai raconté, l'autre nuit ? Au sujet... de mon passé ?
- Edelgard : Aucun de mes frères et sœurs n'a pu vivre la vie qu'ils méritaient. Une vie normale.
- Byleth : choix du joueur
- Non. Vous m'aviez demandé de tout oublier.
- La relation avec Edelgard baisse
- Edelgard : Hm. Eh bien, la mémoire vous reviendra peut-être si je continue mon histoire.
- Je m'en souviens, oui.
- Non. Vous m'aviez demandé de tout oublier.
- Edelgard : Longtemps, ma fratrie et moi, nous... Nous sommes restés enfermés dans les souterrains du palais.
- Edelgard : Le but était de doter notre organisme du pouvoir d'un emblème majeur.
- Edelgard : J'ai toujours possédé l'emblème de Seiros, transmis au sein de la lignée Hresvelg.
- Edelgard : Mais ce n'était qu'un emblème mineur, et la plupart de mes frères et soeurs n'en avaient aucun.
- Edelgard : Pour modeler l'empereur suprême qui règnerait sur Fódlan, ils ont profané nos corps en ouvrant nos chairs.
- Edelgard : Et voilà le fruit de cette entreprise : moi, Edelgard von Hresvelg !
- Edelgard : Mais le prix de mon existence a été le sacrifice des autres.
- Edelgard : Nous ne fûmes pas les seuls à voir nos vies détruites par cette horrible opération. D'autres innocents sont morts sans même savoir pourquoi.
- Edelgard : Voilà l'abominable vérité quant à l'Empire de la famille Hresvelg...
- Byleth : choix du joueur
- Qui est responsable de tout cela ?
- Edelgard : Le chancelier et sa cohorte de nobles. Ils avaient la mainmise sur l'Empire. Mon père, l'empereur a bien essayé de l'en empêcher, mais... en vain.
- Edelgard : Mon père n'était déjà plus qu'une simple marionnette. Il n'a rien pu faire pour nous sauver.
- Edelgard : Je sais que cela paraît invraisemblable. Mais lorsque vous verrez mon véritable pouvoir, vos doutes s'envoleront.
- C'est difficile à croire.
- Edelgard : Certes. Mais lorsque vous verrez mon véritable pouvoir, vos doutes s'envoleront.
- Qui est responsable de tout cela ?
- Edelgard : Je l'ai dissimulé jusque-là, mais je vais vous révéler le pouvoir de mon second emblème.
- Edelgard : C'est le même que le vôtre... L'emblème du feu. Quand il s'est manifesté en moi, j'ai fait un serment.
- Edelgard : En l'honneur de ma famille et des pauvres âmes qui ont perdu la vie pour que j'existe...
- Edelgard : En leur honneur, je bâtirai un monde qui ne souffrira plus ces sacrifices insensés. Je deviendrai impératrice, et je changerai le monde. J'en fais le serment.
Soutien B[]
- Edelgard : Argh... Je n'en peux plus.
- Edelgard : J'ai tant à faire, mais je me heurte à des montagnes de problèmes...
- Edelgard : Ah... Je rêve parfois de m'offrir le luxe de passer une journée dans l'oisiveté. Toute une journée à m'empiffrer de bonbons...
- Byleth : choix du joueur
- Voilà qui ne vous ressemble pas
- Edelgard : Vous savez, j'aime aussi me faire plaisir, parfois.
- Tel est le fardeau des empereurs...
- La relation avec Hubert augmente
- Edelgard : J'ai l'impression d'entendre Hubert. N'ai-je donc pas le droit de me faire plaisir, une fois de temps en temps ?
- Je me joindrais volontiers à vous.
- La relation avec Edelgard augmente
- Edelgard : Vraiment ? Cette simple pensée me rend heureuse.
- Voilà qui ne vous ressemble pas
- Edelgard : Mais Hubert ne le permettrait jamais.
- Byleth : C'est fort dommage.
- Edelgard : Oui. Aujourd'hui, l'oisiveté nous est impossible. Mais un jour, et je vous en fait le serment, nous pourrons nous permettre de ne rien faire.
- Byleth : ...
- Edelgard : Pourquoi souriez-vous ? Cela vous amuse donc que je désire un peu de temps libre ?
- Byleth : choix du joueur
- Un peu, oui.
- La relation avec Edelgard diminue
- Edelgard : Je vois. Je commence à percevoir votre opinion à mon sujet.
- Vous m'avez mal compris.
- La relation avec Edelgard augmente
- Edelgard : Votre sourire idiot est pourtant sans équivoque.
- Un peu, oui.
- Edelgard : Mais n'en parlons plus. J'avais quelque chose à vous dire.
- Edelgard : Je vais peut-être vous sembler un peu sentimentale, mais...
- Edelgard : Je voulais vous remercier. Grâce à vous, j'avance sur ma voie avec intégrité.
- Edelgard : Seule, j'aurais pu m'égarer et devenir un tyran au cœur de pierre.
- Edelgard : Mais je ne suis pas seule. Grâce à votre présence, je ne suis pas que la souveraine, mais également... Edelgard.
- Byleth : choix du joueur
- J'en suis heureux.
- Vous avez de nombreux alliés.
- Edelgard : Certes. J'ai la chance d'être entourée de compagnons admirables.
- Edelgard : Cependant, vous n'êtes pas comme eux.
- Edelgard : Personne n'avait jamais été capable de me surpasser... encore moins me régir.
- Edelgard : J'ai toujours été perçue comme la princesse inaccessible ou l'impératrice intouchable.
- Edelgard : Nul n'osait me parler à pied d'égalité, ni croiser mon regard sans frémir.
- Edelgard : J'ai grandement souffert de ma solitude. Je ne pouvais compter que sur moi-même pour m'extirper des abîmes obscurs.
- Edelgard : Mais vous... Vous avez illuminé ma vie, et en avez chassé l'obscurité. Je vous serai éternellement reconnaissante.
Soutien A[]
Ce soutien n'est disponible qu'à partir de la 2e partie du jeu
- Edelgard : Oui ? Oh, c'est vous, Professeur. J'étais persuadée qu'il s'agissait d'Hubert, venu me rappeler mes obligations.
- Edelgard : « Votre Majesté, vos talents suprêmes sont requis. Plutôt que de contempler le ciel, vous devriez étudier ces documents. »
- Byleth : choix du joueur
- On croirait l'entendre.
- Edelgard : N'est-ce pas ? Et le pire est qu'il a toujours raison, alors je ne peux pas m'insurger.
- Ça ne ressemblait pas du tout à Hubert.
- Edelgard : Ah non ? Je croyais pourtant être devenue experte dans l'art de l'imiter.
- On croirait l'entendre.
- Edelgard : Enfin, nous avons suffisamment parlé d'Hubert.
- Edelgard : Tant que vous êtes là, je voulais vous remercier de m'avoir aidée lors du dernier combat.
- Edelgard : Certes, je suis parfaitement capable de commander moi-même ma propre armée.
- Edelgard : Mais lorsque vous êtes à mes côtés, il y a quelque chose de différent.
- Edelgard : Je ne suis pas sûre de pouvoir l'expliquer, mais votre perception du champ de bataille est bien meilleure que la mienne.
- Edelgard : Vos tactiques et vos stratagèmes donnent l'impression que vous lisez les pensées de l'ennemi.
- Edelgard : Inutile de le nier, vos talents de stratège écrasent les miens. J'en suis envieuse, à vrai dire.
- Byleth : choix du joueur
- Vous avez des talents que je ne possède pas.
- Je vous envie parfois aussi.
- Edelgard : Vraiment ? Eh bien, si vous l'affirmez...
- Edelgard : L'herbe semble toujours plus verte chez le voisin...
- Edelgard : Cela dit, je vous croyait tellement détaché que de vous savoir capable d'émotions telle la jalousie me rassure quelque peu.
- Byleth : choix du joueur
- Je ne suis pas détaché.
- Edelgard : Oh que si ! C'est indéniable.
- Edelgard : Mais j'imagine que je suis comme vous. Je me suis éloignée du monde « ordinaire ».
- Je pourrais vous dire la même chose.
- C'est vrai. Depuis que j'ai subi ces... opérations, je me suis éloignée du monde « ordinaire ».
- Je ne suis pas détaché.
- Byleth : Notre amitié semblait donc inévitable.
- Edelgard : Je n'emploierais pas le terme « amitié » pour qualifier notre relation.
- Edelgard : Vous et moi avons été très longtemps amis. Mais à présent, nous sommes bien plus que ça. C'est du moins ce que je ressens.
- Edelgard : Si vous voulez, vous pouvez m'appeler « El », et non Edelgard.
- Edelgard : Mes parents m'appelaient ainsi quand j'étais petite, tout comme le faisaient mes sœurs préférées.
- Edelgard : Maintenant, il ne reste plus personne pour m'appeler El...
- Edelgard : Je pense que je pourrais... accepter que vous m'appeliez ainsi. J'en serais même très heureuse.
- Byleth : Pourquoi ?
- Edelgard : Pourquoi ? Hmm...
- Edelgard : Eh bien, vous êtes resté à mes côtés et m'avez aidée à porter ce fardeau qui était le mien. Vous êtes bien plus qu'un ami.
- Edelgard : Je vous considère comme ma famille. Voilà sûrement la raison...