Soutien C[]
- Caspar : Ouuuuhh... Je l'ai senti passer. Pourquoi il m'a cogné si fort ?
- Hilda : Tiens, Caspar. Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
- Caspar : Oh ! Euh, salut Hilda. Je me suis juste battu un peu, mais c'était rien de fou. Et puis j'ai gagné, bien sûr.
- Hilda : Tu as le visage tout enflé, ça doit te faire très mal ! Allez, je t'emmène à l'infirmerie.
- Caspar : Non, ce n'est pas nécessaire. Je t'ai dis que c'était rien de fou.
- Hilda : Bon, tu as une face de goule, alors tu arrêtes de discuter et tu me files le train.
- Caspar : Hein ? C'est peut-être pire que ce que je pensais... Bon, t'as gagné, ça peut pas faire de mal, après tout.
Plus tard
- Hilda : Et hop, ça devrait faire l'affaire ! Te voilà rafistolé.
- Caspar : Hé, merci bien, Hilda ! Tu m'avais caché que t'étais aussi doué.
- Hilda : À force de soigner les blessures de mon grand frère, j'ai pris le coup de main.
- Hilda : Mais pourquoi tu te retrouves toujours à jouer des poings, au fait ?
- Hilda : Vu comme tu t'es fait amocher, le mieux aurait été de t'abstenir.
- Caspar : Mais je cherche pas la bagarre ! Enfin... c'est pas toujours moi qui commence !
- Caspar : Mais bon, je connais un tas de gars dont le truc, c'est vraiment pas de discuter.
- Caspar : Alors si je veux les remettre d'équerre, il faut bien que je leur allonge quelques droites !
- Hilda : Hmmm... Alors c'est pour ça que tu es toujours en train de te battre.
- Hilda : Mais pourquoi n'ignores-tu pas ces types ? Ou alors tu pourrais demander de l'aide à quelqu'un ?
- Caspar : Peut-être que toi, tu ferais ça, mais c'est pas mon genre de faire semblant de ne rien voir.
- Hilda : Voilà qui est fort chevaleresque de ta part. Mais ça serait peut-être pas plus mal que t'apprennes à faire preuve de retenue.
- Caspar : Vraiment ?
- Hilda : Oui, vraiment. Je ne pense pas que tu arriveras à résoudre tous tes problèmes à coups de poings.
- Hilda : Le monde est grand. À l'heure où je te parle, les gens en difficulté ne manquent pas.
- Hilda : Mais même sans ton intervention, ces gens-là vont s'en sortir d'une manière ou d'une autre.
- Hilda : Si tu calmais un peu tes ardeurs et que tu laissais faire ne serait-ce qu'une fois, tu serais surpris.
- Hilda : Sans compter que si tu cognes du matin au soir, tu vas finir par être tellement blessé que tu ne seras plus en mesure de me venir en aide !
- Caspar : Hum... Tu marques un point. Bon, je vais essayer cette fameuse retenue dont tu me vantes les bienfaits.
Soutien B[]
- Caspar : Argh, c'est reparti, ils recommencent à s'écharper ! Bon, j'y vais et je...
- Caspar : Non, doucement. Je dois faire preuve de retenue.
- Caspar : Arghhh... Au diable la retenue ! Je peux pas laisser faire ça ! Attendez un peu, mes gaillards !
- Hilda : Pauvre Caspar, c'est plus fort que lui...
- Hilda : Hé hé... Ceci dit, il a vraiment une allure héroïque. Et en plus, il a l'air de s'amuser.
Plus tard
- Caspar : Et voilà une bonne chose de faite ! Oh. Oh non ! Tu as tout vu ?
- Hilda : Qui ça, moi ? Vu quoi, au juste ?
- Caspar : Eh bien... cette bagarre, à l'instant. Celle que je n'ai absolument pas commencée !
- Caspar : J'ai essayé le coup de la retenue, comme t'avais dit. Je m'en tirais plutôt bien, mais ils m'ont quasiment forcé ! J'ai fait de mon mieux pourtant...
- Caspar : Bon, t'as gagné ! La retenue, c'est pas pour moi. Mais bon, je me suis occupé de ces types, alors tout est bien qui finit bien, d'accord ?
- Hilda : Hé hé, effectivement.
- Hilda : Si c'est ce que tu veux, pourquoi devrais-je t'en empêcher ?
- Caspar : C'est tout ? Je pensais que t'allais t'énerver et me dire à quel point je te décevais, mais non, t'es toute sourire.
- Hilda : M'énerver ne servirait à rien. En fait, j'ai trouvé le spectacle plutôt plaisant.
- Hilda : Tu avais l'air de t'amuser
- Caspar : Oui ! Je sais pas pourquoi, je peux pas m'empêcher de participer, c'est comme ça.
- Caspar : Attends, mais alors tu regardais, en fait ! Pourquoi tu m'as pas retenu ?
- Hilda : Moi ? Te retenir ? Et puis quoi encore ? Ce serait me donner bien trop de peine !
- Hilda : En plus, tu avais un air si chevaleresque... J'en étais conquise...
- Caspar : Ah bon ? Alors tu dois aimer regarder les gens se battre !
- Caspar : Je dois avouer que c'était une bonne bagarre. Et puis je vais pas nier que j'ai un faible pour la castagne, moi aussi.
Soutien B+[]
- Caspar : Ce que j'appécie chez toi, Hilda, c'est ton ouverture d'esprit.
- Hilda : Ah bon ? Comment ça ?
- Caspar : Quand je commence à me battre, d'habitude, les gens essaient de me retenir. Alors que toi, non.
- Caspar : C'est ce qui me plaît chez toi.
- Caspar : Pourquoi tu me retiens pas, déjà ? Ah oui, c'est parce que tu sais apprécier une bonne bagarre.
- Hilda : Je ne vois pas trop comment tu as pu te faire cette idée.
- Hilda : J'essaie plutôt d'éviter les conflits.
- Caspar : Ah non, je t'arrête. Tu m'avais des compliments et tu m'avais dit que tu étais conquise en me regardant me battre.
- Hilda : Hmm... Bon, puisque tu insistes...
- Hilda : Mon désir le plus cher, c'est d'être libre, de vivre sans entrave. Donc forcément, ta désinvolture fait son effet sur moi.
- Hilda : Tu te moques des règles et tu vis à ta manière.
- Caspar : Ah, oui, on peut dire ça. J'imagine que je suis plutôt admirable. Mais t'es pas mal non plus, tu sais !
- Hilda : Ah oui, je suis "pas mal non plus" ? Je vois vraiment pas en quoi.
- Caspar : Ben oui, La plupart des gens cherchent à enfoncer leurs propres idées dans la caboche des autres.
- Caspar : Le premier qui se hasarde à faire les choses d'une autre façon que la leur, il se fait boucler son clapet, avec un lavage de cerveau à la clé.
- Caspar : Mais toi, t'es différente. Tu laisses les gens vivre comme ils l'entendent. Des comme toi, on en trouve pas à la pelle.
- Hilda : Arrête, je vais rougir ! On ne m'a jamais fait autant de compliments...
- Caspar : Allons bon. Vraiment ?
- Hilda : Mon grand frère me répétait sans arrêt que j'étais paresseuse et négligente...
- Hilda : J'ai eu mon lot de réprimandes, mais les compliments, c'était pas tous les jours.
- Caspar : Oh, j'aurais pas cru cela. Mais il faut pas que ça te chiffonne.
- Caspar : Ne laisse personne te changer. Tu as des qualités inestimables, il faut surtout pas que tu les perdes !
- Hilda : Tu... as sûrement raison. Eh bien merci, Caspar.
- Hilda : Vivons comme nous l'entendons, sans nous tracasser de l'opinion des autres !
Soutien A[]
Disponible uniquement durant la phase de guerre
- Caspar : Hé, Hilda. Je peux te poser une question ?
- Hilda : Bonjour, Caspar. Vas-y, pose-la.
- Caspar : Tu sais, t'as souvent tendance à faire les yeux doux aux autres gars et à leur demander de bosser à ta place.
- Caspar : Pourquoi tu fais jamais ça avec moi ?
- Hilda : Oh ? Si tu insistes pour que je profite de toi, je veux bien te faire ce plaisir !
- Hilda : Tu sais, tu fais preuve d'une intelligence surprenante à ce sujet.
- Caspar : Non, mais je me demandais... Attends, comment ça, "surprenante" ?
- Hilda : Je n'ai jamais pensé que je pourrais profiter de toi. Tu n'es pas du genre à rendre service. Du coup, je n'ai jamais essayé. Il valait mieux que je me débrouille.
- Caspar : Hein ? Tu crois que je suis égoïste au point que je refuserais de t'aider ?
- Caspar : Mais moi, je serais ravi de t'aider ! Enfin, ça dépend de ce que tu demandes !
- Hilda : Oui, mais ce n'est pas comme ça que je fonctionne. Je ne demande pas directement leur aide aux gens.
- Hilda : Je préfère quand ils devinent ce que je désire et qu'ils me le proposent spontanément.
- Hilda : Et toi, tu n'es pas du genre à faire attention.
- Hilda : Mais pourtant, quand je fais mon numéro de charme sur les autres, ça ne t'échappe pas... C'est très curieux.
- Caspar : Ce que tu dis a du sens. Je suis désolé de ne pas avoir su deviner ce que tu voulais.
- Caspar : Mais vraiment, pourquoi tu ne demandes pas directement ?
- Hilda : Si je demande directement, les gens n'osent pas toujours dire non, même s'ils n'ont aucune envie de m'aider.
- Hilda : Ils se sentent beaucoup mieux en proposant leur aide d'eux-mêmes !
- Caspar : Oui, enfin, tu leur donnes un sentiment de culpabilité pour qu'ils t'aident. C'est pareil, non ? Voire pire...
- Hilda : Mais, Caspar, la culpabilité, n'a rien à voir dans tout cela !
- Hilda : En tous cas, si je te demandais de satisfaire mes moindres désirs, j'aurais l'impression de te couper les ailes. Alors que j'aime ta façon de vivre.
- Caspar : Hmm... Je suis pas sûr de comprendre, mais j'aime aussi ta façon de vivre libre et détendue.
- Caspar : La vie sans entrave, ça me parle. J'adhère.
- Caspar : Mais si tu as vraiment besoin de quelque chose, hésite pas à me demander, d'accord ?
- Caspar : T'as pas toujours le temps de poireauter en attendant que quelqu'un devine ce dont tu as besoin.
- Hilda : Caspar... C'est très gentil. Merci.
- Hilda : Et ma foi, puisque tu le proposes... Tu veux bien m'accompagner dans ma chambre ?
- Hilda : Il y a bien quelque chose que tu pourrais faire pour moi.
- Caspar : Dans ta chambre ? Tu veux redécorer ? Ou bien tu déménages ?
- Hilda : T'es vraiment lent à la détente, hein. Je sais pas ce que je vais faire de toi, Caspar.
- Caspar : Je te suis vraiment pas.
- Hilda : Eh bien... tu pourrais m'aider à porter des bagages ?
- Caspar : Oh, c'est tout ? Je m'en occupe !