Soutien C[]
- Frederick : "Je viens de terminer ma ronde autour du camp, Mon Prince. Tout semble en ordre. Je n'ai constaté aucune trace de l'ennemi dans les environs. Il s'agit donc d'un lieu sûr où nous pourrions passer la nuit."
- Chrom : "Excellente nouvelle. Merci, Frederick."
- Frederick : "J'ai profité de l'occasion pour inspecter également notre armurerie. J'ai placé tous les objets présentant une usure patente devant votre pavillon. Libre à vous de les faire réparer ou de les vendre. Mais un choix rapide s'impose."
- Chrom : "Eh bien, je vois que tu as travaillé dur... Ton zèle m'impressionne toujours. A côté de toi, j'ai l'impression de ne rien faire."
- Frederick : "Je n'ai fait qu'accomplir mon devoir de chevalier d'Ylisse, Monseigneur. J'ai par ailleurs remarqué que vos séances d'entrainement causaient un certain remous. Aussi me suis-je permis de protéger les tentes autour des espaces d'entraînement."
- Chrom : "Hmm, je vois. Navré de t'avoir importuné de cette façon..."
- Frederick : "Ce n'est rien. C'est un plaisir de pouvoir me rendre utile. De plus, je me suis procuré des couvertures pour nous réchauffer la nuit. Celles-ci se déclinent en plusieurs couleurs. Choisissez la couverture qui vous plaira. Si je puis me permettre, le rose vous va comme un gant, Monseigneur. Mais vous souhaitez peut-être une couleur plus neutre... Essayons le bleu ! Voici. Acceptez également ces deux couvertures de rechange."
- Chrom : "Frederick, tu n'es jamais... fatigué ?"
- Frederick : "Que dites-vous là, Monseigneur ? Je ne vis que pour servir. Ah, j'oubliais... J'ai aussi pris des mesures pour remonter le moral des troupes. J'ai commandé à un artiste le portrait de Monseigneur en plusieurs exemplaires. Vous y apparaissez dans une pose osée : nu, avec une épée, la mèche au vent. Sur chaque image figure notre nouvelle devise : " Tous avec Chrom ! ". J'ai jugé utile de faire accrocher ce portrait de vous dans chaque tente. Nos hommes ne manqueront pas d'adhérer à ce principe fédérateur."
- Chrom : "Une seconde... Ne me dis pas... ?! Tu as suspendu ce portrait dans TOUTES les tentes ?!"
- Frederick : "Ne me remerciez pas, Monseigneur. C'est tout naturel. Bien, j'en ai fini avec mon rapport. Tâchez de vous reposer, Votre Altesse."
- Chrom : "Fre... Frederick... ! Attends, il faut vraiment qu'on... ... parle. Diable. L'heure est grave. Il faut enlever ces portraits avant qu'il ne soit trop tard !"
Soutien B[]
- Frederick : "Mes plus sincères excuses, Monseigneur. J'ai observé la hâte avec laquelle vous avez enlevé vos portraits, et je me suis dit que..."
- Chrom : "Je n'ai jamais été aussi embarrassé de toute ma vie. Parole d'honneur ! Quand je suis arrivé sous la tente de ma sœur, elle riait comme une baleine ! Ecoute, Frederick. Il faut qu'on discute. Je sais que tu as de bonnes intentions, mais... Par moments, tu en fais peut-être un peu trop. Et parfois ça tourne au cauchemar ! En tant qu'adulte, je suis parfaitement capable de prendre soin de moi. "
- Frederick : "Loin de moi l'idée de contester vos capacités. Mais j'ai des devoirs... S'il arrivait malheur à Lissa ou à vous, je ne pourrais me le pardonner... Il me serait impossible de l'accepter."
- Chrom : "Mais il y a quand même une différence entre un chevalier et une nounou !"
- Frederick : "Je... Je préfère vous causer quelque embarras plutôt que de faillir à ma mission."
- Chrom : "Très bien. Je vais essayer de t'exposer les choses différemment. Disons que tu es un prince ou un roi, et moi ton fidèle chevalier. Mettons à présent que tu éternues. Je ne parle que d'un petit éternument. Là, imagine que je cours vers toi avec une petite laine et une tasse de thé ! Et si tu parlais soudainement d'une envie de poisson. Comme ça, au hasard... Là, je plonge au péril de ma vie dans des eaux glacées pour satisfaire ton appétit ! Ou alors imaginons l'invraisemblable : tu es fatigué, tu bâilles... Là, je t'envoie une heure durant des charrettes entières d'herbes médicinales ! Alors ? Qu'est-ce que tu en penserais ?"
- Frederick : "Monseigneur, je... Cela m'enragerait certainement. Je me sentirais humilié."
- Chrom : "Ah, tu vois ! Au-delà d'un certain seuil, ce n'est plus de l'aide mais de la torture ! Je respecte tes devoirs de chevalier. Mais il faut rester raisonnable ! Tu n'as pas à faire preuve d'autant de diligence envers ma soeur et moi ! Rien ne nous ferait plus plaisir que de te voir profiter de la vie !"
- Frederick : "S'agit-il d'un ordre, Votre Altesse ?"
- Chrom : "Si c'était le cas, j'imagine que tu obéirais sans sourciller. Mais c'est justement ce que j'essaie d'éviter. Ce n'est pas un ordre, Frederick. C'est un simple conseil d'ami."
- Frederick : "... Très bien. Si tel est votre souhait, je vais limiter mon action au strict minimum. Navré de vous avoir importuné de la sorte."
- Chrom : "Merci de ta compréhension. Je te remercie aussi pour ton dévouement."
- Frederick : "C'est un honneur que de vous servir."
Soutien A[]
- Frederick : "Voilà pour le rapport, Monseigneur..."
- Chrom : "Parfait. Merci bien."
- Frederick : "*soupir*"
- Chrom : "Eh bien, je crois que je ne t'ai jamais entendu soupirer. Tout va bien, Frederick ?"
- Frederick : "Mes excuses ! J'aurais souhaité vous épargner cela..."
- Chrom : "Pas d'inquiétude... Mais, dis-moi, tu n'as rien, au moins ?"
- Frederick : "Non, tout va bien, Monseigneur. Je suis en parfaite santé."
- Chrom : "C'est que tu as mauvaise mine... Tu es pâle comme un cadavre. Tu pourrais presque rejoindre l'Armée des Ombres ! Certains Veilleurs se posent même des questions..."
- Frederick : "Je le regrette. Seulement, j'ai... En fait... J'ai l'impression de ne pas vous être utile... à Lissa... et à vous..."
- Chrom : "Hmm ? J'ai du mal à te suivre..."
- Frederick : "Oh, ce n'est rien ! Vraiment ! Je... J'ai besoin de repos, voilà tout..."
- Chrom : "Dans ce cas, va te reposer ! Et n'hésite pas à me faire part de tes inquiétudes. Sinon... Avant que j'oublie... Merci d'avoir réparé les tentes de toutes nos troupes. Pour ma part, je suis bien heureux de ne plus être à la merci du vent."
- Frederick : "Monseigneur... Comment avez-vous su... ?"
- Chrom : "Qui s'occuperait d'un détail aussi infime, après une dure journée de bataille ?! Je te remercie donc à nouveau, mon ami. De la part de tout le monde. Certains jours, je ne sais pas ce qu'on ferait sans toi, Frederick."
- Frederick : "Monseigneur, je... Je ne sais pas quoi dire. C'est un honneur d'être complimenté par vous !"
- Chrom : "Ha ha ! Je ne dis que la vérité, Frederick. Rien de plus. Mais excuse-moi, il faut que j'aille parler à Daraen."
- Frederick : "Faites donc ! Sa tente se trouve par là... Je me mets tout de suite au travail !"
- Chrom : "Au travail ? Tu ramasses des pierres ?! Frederick, qu'est-ce que tu fabriques ?!"
- Frederick : "C'est qu'avec tous ces obstacles dangereux sur votre chemin, vous comprenez... Mais... je ne voudrais pas me mettre moi-même en travers de votre chemin ! N'ayez crainte ! J'ai tracé un chemin annexe qui me permettra d'arriver avant vous !"
- Chrom : "Hum... Frederick... ?"
- Frederick : "Ai-je omis quelque point important ? Ah oui ! Toutes ces vilaines orties pourraient vous donner de l'urticaire !"
- Chrom : "Ce n'est pas ce que j'allais dire..."
- Frederick : "J'ai été bien distrait ! Mais je vais les déraciner de ce pas ! Point d'inquiétude !"
- Chrom : "Bon sang..."
- Frederick : "Et voilà ! Vous pouvez à présent gambader joyeusement à travers le camp !"
- Chrom : "C'est ce que tu entendais par limiter ton action au strict minimum ?"
(Frederick part)
- Chrom : "Enfin... S'il est heureux ainsi..."
- Frederick (au loin) : "Vous disiez quelque chose, Monseigneur ?"
- Chrom : "Je... Mais... Frederick ?! Ne vois-tu pas que j'ai une réunion avec Daraen ?!"
- Frederick (au loin) : "Oh oui... Bonjour ! Et pardonnez-moi cette intrusion, Daraen."
- Chrom : "Frederick ! Tu n'es pas obligé de... Tu peux faire la poussière plus tard ! Et puis tu n'as pas besoin de dépoussiérer Daraen, d'ailleurs ! FREDERICK !"