Soutien C[]
Mathilda : Clive !
Clive : Mathilda ! J'ai rêvé toutes les nuits de pouvoir à nouveau combattre à tes côtés. Mathilda : Moi aussi, mon amour. Je crains de ne pouvoir contenir mon émotion et de peiner à tenir mon arme ! Tu me fais perdre tous mes moyens.
Clive : Dans ce cas, j'ai intérêt à remporter cette bataille pour nous deux ! Je t'en prie, ne sois pas nerveuse. Je serai là, près de toi. Allez, va décimer notre ennemi, telle la magnifique guerrière que tu es.
Mathilda : J'ai cru que tu ne n'oserais jamais me le demander. Couvre mes arrières, mon amour !
Clive : Ma douce... Comment pourrais-je en faire autrement ?
Soutien B[]
Mathilda : Clive !
Clive : Mathilda ! Ta façon de manier la lance ne cesse de faire chavirer mon cœur.
Mathilda : J'ai encore tant à apprendre avant de t'arriver à la cheville, mon amour.
Clive : Ne dis pas de sottises, ma mie. Il n'y a aucun guerrier que je préférerais avoir à mes côtés au combat. Tu nous apporteras la victoire. J'en suis convaincu !
Mathilda : Tes paroles me font chaud au cœur. Je voulais simplement te l'entendre dire. Bien. Montre-moi les ennemis que tu souhaites me voir transpercer !
Clive : Ha ha ! Pour où commencer ?
Soutien A[]
Mathilda : Ah, Clive...
Clive : Mathilda, que se passe-t-il ? Tu as l'air si triste. Où se cache ton adorable sourire ?
Mathilda : C'est... ta sœur... Elle prétend qu'il est déplacé pour moi d'être plus forte que toi au combat... J'en suis complètement chamboulée. Au combat, hommes et femmes sont égaux. Seul le talent compte. Mais tu seras bientôt mon seigneur et mari. Je n'ai jamais voulu que tu te sentes diminué ou embarrassé.
Clive : C'est ma sœur qui devrait avoir honte d'entretenir des idées si rétrogrades ! Je ne serais jamais ton « seigneur ». Je suis follement fier de tes exploits. Et si je voulais te surpasser au combat, il me faudrait travailler et le mériter. Je t'interdis de changer quoi que ce soit. Je t'aime comme tu es.
Mathilda : Moi qui pensais qu'il était impossible de t'aimer plus fort !
Clive : Allez, va faire virevolter ta lance, ma valkyrie sauvage.
Mathilda : Ah, toi seul sais comment faire battre mon cœur. Regarde-moi déchaîner ma fureur contre ces misérables !