Scripts de Heroes/Histoire Principale/Livre 4-Chapitre 4

Acte 1 - Souvenirs oniriques

Début de l'acte

Triandra : L'elfe de lumière et ses amis nous poursuivent, comme l'avait prédit Dame Freyja...

Plumeria : Excellent. Si notre mission continue de se dérouler conformément au plan, Dame Freyja sera ravie.

Plumeria : Cela étant dit, je ne m'attendais pas à ce que Ljósálfheimr soit si agréable...

Plumeria : On y trouve apparemment aucun de ces humains obsédés.

Triandra : Hmm. En effet.

Plumeria : Je suis bien obligée d'envoyer des rêves indécents, peu importe le degré de perversion.

Plumeria : Mais même en tant qu'elfe des ténèbres...

Plumeria : Je ne m'habituerai jamais au niveau de vice des humains. Leur dépravation ne connaît aucune limite.

Triandra : J'avoue que je n'ai jamais dû envoyer de tels rêves...

Triandra : Ma réalité est uniquement composée de cauchemars... de douleur... et de désespoir.

Triandra : Peony, le doux rêve... Nous sommes si différentes et pourtant nous sommes les deux revers de la même médaille.

Plumeria : Et alors ? Je ne vois pas en quoi cela vous surprend...

Triandra : Laissez tomber. Allons-y, nous avons des ordres à suivre.

Début du combat

Peony : Hmm...

Peony : Ça sent le mauvais rêve à plein nez. On doit donc toucher au but ! Par ici !

Anna : Peony peut... flairer les mauvais rêves ? Est-ce vraiment possible ?

Alfonse : C'est le royaume des rêves, après tout, et nous n'avons pas d'autre choix que de faire confiance à Peony.

Fin du combat

Peony : Les elfes des ténèbres sont par-là !\nQue tout le monde me suive !

Anna : Attendez un peu... Ce n'est pas de là qu'on est venus ? Pourquoi est-ce qu'on rebrousserait chemin ?

Peony : Oh ! Je suis sûre que ce serait étrange dans votre monde, mais au pays des rêves, c'est logique ! Suivez-moi !

Sharena : On vous suit, Peony !

Anna : Si nous restons ici, j'ai bien peur de finir par perdre la tête.

Alfonse : Je vois très bien ce que vous voulez dire...

Acte 2 - Mémoire de dragon

Début du combat

Nils : J'entends une voix familière qui m'appelle depuis la Porte du Dragon. Serait-il possible qu'il s'agisse de...

Fin de l'acte

??? : Allez, on joue, on joue, on joue !

??? : Jouons aux devinettes !

??? : Je commence ! Vous pouvez me voir les yeux fermés, mais dès que vous les ouvrez, je disparais.

??? : Qui suis-je ?

??? : Allez, on joue, on joue, on joue !

??? : La réponse la plus évidente serait\n« un rêve », mais ce serait trop facile ! Quelle est la bonne réponse alors ?

??? : Allez, on joue, on joue !

Acte 3 - Détermination d'Ilia

Début du combat

Fiora : Nous aurons beau verser des torrents de larmes, la glace ne fondra pas.

Fiora : Mieux vaut que je me batte pour mon pays.

Fin de l'acte

Sharena : Ah...

Sharena : Ce... ce paysage...

Alfonse : Quelque chose ne va pas, Sharena ?

Sharena : Je... me souviens de cet endroit. Ce champ de fleurs, je le connais. Je suis déjà venue ici...

Sharena : Mon... cœur... Tant de souvenirs refont surface... J'ai du mal à contenir mon émotion !

Anna : Mais comment pourriez-vous connaître le pays des rêves ?

Sharena : C'était il y a longtemps... Je n'étais qu'une petite fille. Je ne sais pas comment, mais je suis venue ici...

Peony : Oooh ! Je peux vous demander quelque chose ?

Peony : Donc vous êtes déjà venue ici, pas vrai ? Avez-vous joué avec des elfes de lumière ?

Peony : De quoi vous souvenez-vous exactement ?

Sharena : Oui ! J'avais l'habitude de jouer avec d'autres filles de mon âge... On jouait à cache-cache ou à se déguiser...

Sharena : En réalité, elles ressemblaient assez à Peony. C'était vous, Peony ? Vous vous en rappelez ?

Peony : Ça ne me dit rien, désolée... J'ai joué en effet avec des enfants dans leurs rêves, mais vous n'en faites pas partie.

Sharena : Oh... Je vois.

Alfonse : Si ce sont les enfants qui visitent généralement le pays des rêves...

Alfonse : Sharena est venue ici il y a plus de dix ans...

Alfonse : D'ailleurs, quel âge avez-vous, Peony ?

Sharena : Mais tu as perdu la tête, Alfonse ? C'est très impoli de demander l'âge d'une femme !

Anna: Exactement ! Tâchez de vous en souvenir, Alfonse !

Alfonse : Je... je suis désolé. Je n'avais pas l'intention de vous manquer de respect...

Peony : Hmm... L'âge correspond au nombre d'années qui se sont écoulées depuis notre naissance, c'est ça ?

Peony : Je... je ne sais pas si je peux calculer mon âge.

Peony : En Ljósálfheimr, le temps s'écoule différemment.

Peony : Et en plus, je me suis retrouvée ici un jour sans m'en rendre compte.

Alfonse : Vous vous êtes retrouvée en Ljósálfheimr du jour au lendemain ?

Peony : Tout à fait ! C'est au roi des rêves, Freyr, et à sa sœur, Dame Freyja, que je dois la vie.

Peony : Ce sont également eux qui ont donné un but à ma vie : apporter de beaux rêves à tous.

Acte 4 - Avenir d'une espionne

Début du combat

Laila : Matthew... Après cette mission, je veux faire un trait sur ce style de vie.

Fin de l'acte

??? : Allez, on joue, on joue, on joue !

??? : Jouons aux explorateurs !

??? : Nous boirons le nectar des dieux, délicieux et sucré comme le miel !

??? : Puis nous serons les héros appelés pour sauver le pays des rêves !

??? : Allez, on joue, on joue, on joue !

??? : Mais ceux qui boivent le nectar ne pourront jamais... retourner chez eux. Jamais...

??? : Allez... On joue...

Acte 5 - Echo de Gullinkambi

Début du combat

Peony : Ha ! Voici la porte des rêves... Le seul endroit en Ljósálfheimr où Gullinkambi peut...

Triandra : Vous voilà enfin, doux rêve.

Peony : Vous devez être Triandra ! Nous savions que nous finirions par vous mettre la main dessus !

Peony : Ce sont vous, les elfes des ténèbres, qui êtes derrière les mauvais rêves dont la population d'Askr est victime ?

Peony : Il est temps que cela cesse ! Partez d'ici et libérez les victimes piégées dans vos affreux cauchemars.

Triandra : C'est impossible.

Triandra : Mais dites-moi... s'il vous arrivait malheur, le cauchemar deviendrait-il la nouvelle réalité des mortels ?

Fin du combat

Triandra : Argh...

Triandra : Il semblerait que nous ayons perdu pour cette fois, Plumeria. Battons en retraite...

Peony : Pfff... Ces elfes des ténèbres...

Peony : Ne se rendent-elles donc pas compte qu'en se comportant si mal, elles vont rendre les gens tristes ?

Peony : Bref... La situation devrait être réglée au moins. Utilisons le cor que nous a donné le roi Freyr.

Peony : En sonnant du cor ici et maintenant, nous retrouverons Kiran !

Peony : Alors... c'est parti ! Utilisez-le vite ! Je suis impatiente !

Alfonse :Très bien, je vais essayer...

Alfonse :Au nom de Freyr, le roi des rêves... Laissez-nous nous réveiller !

Peony : Le son du cor... J'ai l'impression que ça a fonctionné. Super !

Peony : Les mauvais rêves se sont évanouis et vous pourrez bientôt tous vous réveiller !

Peony : C'est un peu triste... L'heure des adieux est proche.

Sharena : Tout va bien, Peony ?

Peony : C'est juste que le rêve touche à sa fin.

Peony : Une fois réveillés, vous oublierez Ljósálfheimr, les elfes de lumière... et vous m'oublierez...

Sharena : Oh non ! Nous voilà tout juste amies et nous devons déjà nous dire adieu ? C'est trop triste.

Peony : Je suis désolée, Sharena. Mais merci.

Peony : Je veillerai toujours sur chacun de vous...

Peony : Et peut-être qu'un jour...

Alfonse : Peony !

Alfonse : Nous... nous reverrons un jour dans un rêve.

Fin de l'acte

Freyr : Le son du cor... Cela signifie qu'ils sont retournés dans le mon...

Freyr : Que fais-tu ici ?

Freyja : Cela fait une éternité, cher frère... et c'est comme cela que tu salues ta sœur adorée ?

Freyr : Je vais te reposer la question, Freyja... Que viens-tu faire ici ?

Freyja : Le monde est si ennuyant sans toi.

Freyja : Tu devrais venir avec moi dans mon monde, Dökkálfheimr.

Freyr : Hors de question. Si je venais avec toi, le monde des humains serait envahi de cauchemars.

Freyja : C'est peut-être vrai... Le rêve deviendrait leur nouvelle réalité.

Freyja : Mais s'ils étaient assaillis de cauchemars, ce serait de leur propre fait.

Freyr : Ça suffit, Freyja. Tout être vivant doit être traité avec considération, même les mortels.

Freyja : Ta façon de voir les choses m'écœure. Et ton adoration des humains ne fait que renforcer ma détermination.

Freyja : Tu leur as même donné ton cor, ce qui te laisse sans défense face à moi... Hmm...

Freyja : Tu n'aurais jamais dû faire ça. Je suis la seule à être digne de ton amour, de ton admiration, de tes cadeaux !

Freyja : Je ne me laisserai pas humilier par des animaux qui peuvent à peine contrôler leurs instincts primaires !

Freyr : Freyja, écoute-moi...

Freyja : Triandra, Plumeria... Saisissez-le.

Triandra : Oui, Dame Freyja.

Freyja : Maudits mortels... Maintenant que le cor a résonné, ils ne devraient plus tarder à se réveiller...

Freyja : Je meurs d'envie de voir leur visage en découvrant que le cauchemar les a suivis malgré leur réveil !

Freyja : Une terrible souffrance... Voilà ce qui attend ceux qui osent monopoliser l'attention de mon frère !