Soutien C[]
Leon : Comment vas-tu, mon ami ?
Valbar : Plutôt pas mal, Leon. Et toi ?
Leon : Tu me connais. Je me donne toujours à fond quand tu es dans les parages.
Valbar : Ha ha ha ! J'y compte bien. Au fait, y a un truc qui me turlupine. Tu es beau garçon, et tu te défends pas mal sur un champ de bataille. Si tu savais juste quand la fermer, tu aurais toutes les filles à tes pieds.
Leon : Où veux-tu en venir ? Et pour l'amour de Mila, que ferais-je d'une horde de filles à mes pieds ? Combattre à tes côtés me suffit. Je n'ai nul besoin d'autres motivations.
Valbar : O-Ouais ? Et ben, merci alors. C'est drôlement flatteur, en fait.
Soutien B[]
Leon : J'ai une question pour toi, mon ami.
Valbar : Balance.
Leon : Comme nous nous connaissons bien, je ne vais pas tourner autour du pot. Tu as perdu toute ta famille, c'est bien ça ?
Valbar : Ouais, on peut dire ça.
Leon : Et pourtant, tu continues à te battre pour ce monde. C'est impressionnant. Même si tu as une dette envers Celica, beaucoup auraient renoncé à ta place.
Valbar : Ouais, peut-être. C'est vrai que parfois, la douleur est telle que j'en perds mes moyens. Mais c'est juste parce que j'étais si heureux quand j'étais avec eux. Tout s'équilibre, tu sais, j'ai eu assez de bonheur pour endurer tout ce malheur. De toute façon, je les ai vengés. La haine n'apportera rien de plus.
Leon : Ouah, Valbar...
Soutien A[]
Leon : ...
Valbar : Tu es affreusement silencieux, Leon. Quelque chose te tracasse ?
Leon : Je viens de réaliser à quel point j'étais stupide de m'apitoyer sur mon sort. Comparé à ce que tu as dû traverser, mes soucis sont tout à fait futiles.
Valbar : Des soucis ? Je pensais pas que tu étais du genre à en avoir.
Leon : Je t'en prie ! J'ai ma part de tourment, comme n'importe qui d'autre. Notamment un cas non négligeable d'amour non réciproque.
Valbar : ... Oh. Ça.
Leon : Mais ça ira. Comme tu l'as dit, rester prisonnier de certaines émotions n'apporte rien. Mais je suis heureux de ce que j'ai ressenti, et rien ne pourra changer ça.